dimanche 10 mai 2009

DEMENAGEMENT

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ON SE RETROUVE LA BAS

AIWASS

mercredi 6 mai 2009

Mr Anthony C. Sutton



Hommage à Antony C. Sutton


http://www.evolutionquebec.com/site/nom/sutton.html

- Disparition d’un Grand Connaisseur des Arcanes Secrètes.

In Memoria Aeterna erit Justus

Un maître de l’Histoire Secrète €” l’histoire honteuse comme la dénommait le martiniste Honoré de Balzac ( … ) €” nous a, hélas, quittés en février 2002. Antony C. Sutton était né à Londres (Angleterre) en 1925 mais passa la plus grande partie de sa vie aux Etats-Unis (40 ans) après sa naturalisation. De formation universitaire (Economie, Génie Civil), Antony Sutton exerça dans les Industries minières et de l’acier. Diplômé des Universités de Londres, de Gà¶ttingen et de Californie, A. Sutton sera, dans les années 60, professeur d’Economie à l’Université d’Etat de Californie (Los Angeles) et pendant sept ans, chercheur à l’Université Stanford (Fondation Hoover). Ce fut pendant son séjour à Stanford qu’il écrivit l’ouvrage définitif en trois volumes sur les sources de la technologie soviétique: Western Technology and Soviet Economie Development, toujours réimprimé vingt-cinq ans après sa parution… Dans sa Lettre d’Information, ([1]) Pierre de Villemarest –éminent spécialiste des questions soviéto-mondialistes €” écrit que Sutton fut le seul auteur qui ait jamais disséqué les contrats grâce auxquels les totalitarismes nazi et soviétique ont pu vivre et survivre économiquement. Cela lui a d’ailleurs valu la haine et le harcèlement d’Illuminati ou agents des Illuminati tels que David Rockefeller, Averell Harriman, Henry Kissinger et autres animateurs des clubs fabiens anglo-américains qui, à partir de la Trilatérale en 1973, ([2]) ont conduit à encadrer la marche au Mondialisme !…

Ces hommes n’ont eu de cesse de faire disparaître les parutions d’A. Sutton et de l’interdire de signature ou de référence dans les médias, ([3]) jusqu’en France où le nom d’A. Sutton n’était connu que des seuls spécialistes en Mondialisme. Inutile de dire qu’aucun de ses ouvrages n’a été traduit dans notre langue… En conséquence notre auteur méritait bien un hommage pour ses travaux d’écrivain non aligné qui déplaisaient fortement aux Maîtres du Système ! … Revenons à Technologie Occidentale. Dans cette monumentale oeuvre de 1300 pages, A. Sutton démontre la dépendance technologique de l’URSS, dès les années 30, vis à vis de l’Occident et conclue qu’à deux ou trois exceptions près toutes les innovations technologiques provenaient des Pays de l’Ouest, si décriés par le régime bolchevique…

L’Occident a bâti, soutenu, financé la Dictature Rouge dès les origines. Sans un tel soutien logistique, un régime aussi inique n’aurait pas survécu!… On comprend que les Architectes de cette Conspiration n’aient pas du tout goùté les révélations gênantes d’A. Sutton et se soient dépensés sans compter pour tenter d’occulter ses travaux… Dans la foulée, A. Sutton publia, comme pour enfoncer le clou, un ouvrage complémentaire intitulé National Suicide. Military Aid to the Soviet Union dans lequel il accusait l’Establishment d’avoir fait tuer des Américains au Viêt-Nam avec… la technologie US! … Cet ouvrage sera réactualisé en 1986 sous le titre The Best Enemy Money can buy, ([4]) grâce à une montagne de documentation provenant en majorité de sources gouvernementales et de sociétés commerciales… Sutton insistait sur le fait que la technologie militaire soviétique était très dépendante des dons des pays libres (dont les E.-U.), du commerce pacifique et des programmes d’échanges. Tout leur fut construit ou vendu depuis le bobinage en cuivre jusqu’aux camions militaires, en passant par la technologie du guidage des missiles, des ordinateurs, et même de la Navette Spatiale ! Des centaines et des centaines de millions de dollars dépensés sans compter pour maintenir à flot la formidable machinerie soviétique ! … Suite à ces révélations indélicates, la Fondation Hoover €” sur la pression de la Maison Blanche €” retira alors sa bourse de recherches à Antony Sutton, qui perdit son poste… C’est une constante que les forces de ténèbres ne supportent pas la moindre révélation sur leurs activités subversives. Intrigué par la nature de l’attaque dont il avait été la victime, et surtout par les forces puissantes qui avaient dirigé cette agression, Antony Sutton décida de mener une enquête approfondie sur lesdites forces et publia dans les années 70 une trilogie sur le soutien politique et financier que les Banquiers Internationaux de Wall Street avaient accordé à trois variantes du Socialisme.

Ainsi parurent Wall Street and the Bolshevik Revolution, Wall Street and the Rise of Hitler et Wall Street and FDR [Franklin Delanoe Roosevelt]. Dans Wall Street and the Bolshevik Revolution, A. Sutton dévoile l’action des dirigeants de la firme bancaire Morgan dans l’acheminement illégal de l’or bolchevique vers les États-Unis, mais aussi le rôle subversif de la Croix-Rouge américaine en Russie, cooptée par de puissants intérêts de Wall Street. On y apprend également quels sont les hommes de Wall Street qui intervinrent pour libérer Trotsky de façon à ce que le futur organisateur de l’Armée Rouge fùt en mesure de déclencher la Véritable Révolution, cette sanglante révolution de 1917 qui renversa Kérensky, franc-maçon notoire dont le rôle consista à préparer le terrain aux bouchers du Kremlin. Sutton dévoile les marchés passés entre les grandes firmes et les soviétiques dans le but précis d’accaparer le gigantesque marché russe plus de 15 ans avant que le Gouvernement des États-Unis ne reconnaisse le Régime Soviétique… Pour la première fois, les liens étroits entre quelques banquiers de New-York et de nombreux révolutionnaires étaient prouvés avec des documents inattaquables ([5]) par un universitaire de renom. Soutenant en façade (= publiquement) le mouvement anti-bolchevique, cette immonde pègre financière tissait des liens durables dans les coulisses de la politique, avec… les Bolcheviques ! … Poursuivant sur sa lancée, A. Sutton publiait en 1975 Wall Street & F.D.R., exposant les liens entre Roosevelt et la Haute Finance Internationale, le quartier général de la Conjuration Mondiale se situant à Wall Street au n° 120. Roosevelt tissa en effet des liens très étroits avec ces banquiers, de 1927 à 1934. Ce sont les mêmes banquiers apatrides qui conseillèrent Roosevelt pour le lancement de la politique socialiste de New Deal [Nouvelle Donne], contribuant à l’essor du Socialisme officiel aux États-Unis. C’est ce qui ressort des papiers personnels de Roosevelt qui appliqua strictement les consignes données pour l’édification de cette Nouvelle Société Mondiale. La clique financière de Wall Street voulait que les politiques édifient une Société Socialiste car le socialisme nivelle par le bas, appauvrit et permet de mieux contrôler les peuples. Roosevelt se fit donc le héraut de cette sinistre politique et devint l’agent de l’Illuminati Bernard Baruch, gouvernant occulte des États-Unis et … d’une grande partie du monde.

Rappelons que ce fut à cette époque que Roosevelt, toujours soumis aux diktats de ses mentors, fit placer la pyramide illuministe sur le billet de 1 dollar, en 1933 très exactement. ([6]) Les Maîtres du Monde sentaient que des pas gigantesques avaient été accomplis vers leur objectif de Domination Mondiale et ne pouvaient s’empêcher de marquer leurs territoires, à l’aide de symboles très explicites, pour des initiés… En 1976, A. Sutton concluait avec son remarquable Wall Street and The Rise of Hitler. ([7]) Ce furent les financiers américains qui procurèrent à Hitler l’argent et le matériel destinés à provoquer la Deuxième Guerre Mondiale. ([8]) Trente ans d’erreurs, de mensonges, de duplicités pulvérisés en un ouvrage de 220 pages bourrées de documents et de références indiscutables. Livre qui permit à Pierre de Villemarest d’écrire son A l’ombre de Wall Street. Complicités et financements soviéto-nazis. ([9]) Dans son troisième volet, Antony Sutton prouvait que non seulement la 2e Guerre Mondiale avait été programmée mais qu’elle fut aussi extrêmement profitable à un groupe restreint d’insiders de la Haute Finance. Sutton a eu recours à des documents originaux et des témoignages de première main qui jettent une lumière crue sur des secrets sévèrement gardés jusqu’ici et que les grands financiers ne pensaient pas voir remonter de sitôt à la surface! … Nous disposons ainsi d’un éclairage unique sur le rôle joué par les J.P. Morgan, T.W. Lamont, H. Ford, les intérêts Rockefeller, la General Electric, Standard Oil, National City Bank, Chase & Manhattan Banks, Kuhn Loeb & Co et quantité d’autres affairistes de haut vol. Quel spectacle attendrissant: les fées de la Haute Finance Internationale se penchaient dès le début sur le berceau du National - Socialisme dans le but de provoquer moins de dix ans plus tard la plus terrible guerre que le monde ait jamais connu jusque là , à savoir la deuxième étape du Plan Pike-Mazzini. Les mêmes hommes, les mêmes firmes internationales financèrent la Révolution Bolchevique, le New Deal de Roosevelt et le National-Socialisme ! … Est-il besoin de mentionner que les révélations documentées d’Antony C. Sutton déplurent fortement et que l’Establishment US lui voua dès lors une haine profonde qui alla en s’amplifiant…

Antony Sutton ne s’arrêta pas en si bon chemin. Ayant appris beaucoup (beaucoup trop !) de choses sur les agissements de la haute finance internationale et sur les cercles mondialistes, il publia un ouvrage en deux parties sur les Guerres et les Révolutions (Wars and Revolutions ) et ceux qui les commanditent pour l’avancement de leurs plans. De même il publia un ouvrage très documenté en deux tomes sur le sujet de la Trilatérale: Trilaterals over Washington, cette fameuse société mondialiste créée en 1973 par le banquier-homme d’affaires international Rockefeller. Société bien décortiquée par Yann Moncomble et dont nous avons parlé dans de précédents articles. ([10]) A. Sutton réécrira entièrement son livre en deux tomes, incorporant de nouveaux documents reproduits photographiquement, mais en les publiant cette fois-ci en un seul volume, sous le titre : Trilaterals over America. ([11]) Cet ouvrage important complète très utilement celui de Yann Moncomble par la documentation qu’il fournit et les pièces inédites qu’on ne trouve pas chez notre auteur français. A la lecture d’un tel livre on saisit sans ambages le rôle détestable de cette société du Nouvel Ordre du Monde qui se met en place et ses ingérences insupportables dans tous les domaines: imposition, agriculture, fausse paix, ententes avec les socialo-communistes, domination bancaire, utilisation de la drogue ([12]) dans une optique très particulière: celle d’exercer un contrôle de plus en plus étouffant sur les populations pour arriver sans difficulté à la Domination du Monde Entier ! Cet ouvrage contribua sans aucun doute à rendre encore plus sympathique Antony Sutton aux yeux des Trilatéralistes et autres gangsters mondialistes… Mais le clou du spectacle, si vous me permettez cette expression, n’est pas encore arrivé. Nous n’avons signalé que les oeuvres majeures d’Antony Sutton, qui a rédigé plus d’une vingtaine de livres dont Technological Treason; The Diamond Connection; Gold versus Paper , The War on Gold; Energy, the Created Crisis qui abordèrent à tour de rôle différents aspects de la Domination du Monde et du Nouvel Ordre Mondial: la trahison technologique au profit de l’Est; les pierres précieuses, l’or, l’énergie (une crise créée de toutes pièces par les grands cercles mondialistes, les grands trusts pétroliers, etc., tous liés dans le même complot … ). Antony Sutton avait donc pénétré bien des secrets du Gouvernement Occulte du Monde. Mais aussi bizarre que cela puisse paraître, il n’était pas satisfait à cent pour cent. Après 16 livres et 25 ans de recherches fondamentales, il pensait avoir tout vu, que le monde n’était finalement que le règne de la confusion à l’état pur, au-delà de toute intelligibilité, éloigné de toute notion de salut et qu’il n’y pouvait malheureusement pas grand chose… En 1968 il se rappelait avoir fait publier par la Hoover Institution, à l’Université Stanford, ses volumes sur Western Technology and Soviet Economic Development.

En 3 volumes substantiels il avait expliqué, en long, en large et en travers comment l’Occident avait édifié l’Union Soviétique. Toutefois ce travail suscitait des interrogations en apparence insolubles: pourquoi avait-on fait cela ? Pourquoi avait-on édifié l’Union Soviétique et opéré à de nombreuses reprises des transferts de technologie à destination de l’Allemagne hitlérienne ? Pourquoi à Washington voulait-on occulter ces faits ? Pourquoi avait-on renforcé la puissance militaire soviétique et simultanément la nôtre ? Dans des ouvrages ultérieurs €” la série des Wall Street €” A. Sutton avait accumulé d’autres questions, mais n’avait toujours pas apporté de réponse à ses interrogations profondes. Il était arrivé plus ou moins à la conclusion qu’aucune réponse rationnelle ne pouvait le satisfaire pleinement. C’est alors, qu’en 1982, il reçut une liasse de documents d’une vingtaine de centimètres d’épaisseur ! Rien moins que des listes de membres d’une Société Secrète Américaine. Et quelle société secrète! Au fur et à mesure que les pages défilaient, il devenait de plus en plus évident qu’il ne s’agissait pas de n’importe quel groupe. Les noms étaient synonymes de Pouvoir avec un grand P. Tandis qu’il contrôlait l’identité de chacun de ses membres émergeait une construction étonnante, et ce qui constituait auparavant un monde flou devenait clair comme du cristal… Cette société secrète qui avait pour emblème un crâne et des tibias entrecroisés (Skull & Bones) n’était rien d’autre que l’ Ordre de Yale, l’Ordre des Illuminés de Bavière en sa descendance, ayant pour quartier général l’Université de Yale.

A. Sutton commença à publier ses résultats d’enquêtes sur l’Ordre sous la forme de grosses brochures:

An Introduction to the Order; How the Order contracts Education; How the Order creates War and Revolution; The Secret Cult of the Order qui seront complétées par une autre brochure uniquement consacrée à un membre éminent de l’Ordre, le futur président des Etats-Unis, George Bush (père): Two Faces of George Bush. En 1986, A. Sutton regroupera ses brochures en un seul volume qu’il intitulera Americas Secret Establishment. ([13]) Ce volume constitua une réponse documentée aux questions que voulait résoudre l’auteur: il expliquait pourquoi l’Occident a édifié l’Union Soviétique et soutenu Hitler; ([14]) pourquoi les Américains sont entrés dans la 2e Guerre Mondiale pour perdre dans beaucoup de domaines; pourquoi Wall Street aimait les marxistes et les nazis; pourquoi les enfants ne savent et ne peuvent pas lire; pourquoi les Eglises sont devenues des centres de propagande mondialiste; pourquoi les faits historiques (dérangeants) sont étouffés; pourquoi les politiciens passent leur temps à mentir, etc., etc. … Antony Sutton concluait en déclarant que cet ouvrage était infiniment plus important que ses livres sur la Technologie Occidentale et le soutien à l’Union Soviétique et que s’il avait un magnum opus, c’était bien celui-là . Et comment ! Nous l’avons déjà dit dans de précédents articles ([15]): l’Ordre de Yale n’est qu’une extension de l’ Ordre des Illuminés de Bavière fondé au XVIIIe siècle par le sinistre Adam Weishaupt. Tous les cercles mondialistes (Trilatérale, Bilderberg, CFR, Pilgrim Society, Conseil Atlantique, Bohemian Club ([16]) de San Francisco, … ) ne sont que des cercles extérieurs de l’Ordre de Yale, un des plus importants noyaux dirigeants de la subversion, à l’échelle de la planète ! William Carr avait démontré dès les années 50 que les Illuminati Pike et Mazzini étaient responsables du programme luciférien des Trois Guerres Mondiales voulues pour instaurer le fameux Gouvernement Mondial de l’Antéchrist. ([17]) Les Illuminés de Yale oeuvrent dans le même sens: la domination mondiale demeure leur préoccupation majeure. On comprend dès lors pourquoi l’Ordre s’est immiscé dans le domaine de l’éducation pour mieux contrôler les peuples et les conduire ensuite dans des cycles infernaux de crises, de guerres et de révolutions. On comprend aussi pourquoi de tels individus €” pourris jusqu’à la moëlle, des poteaux de boue comme aurait dit la stigmatisée bretonne Marie-Julie Jahenny ! €” ne peuvent être que des serviteurs de Lucifer. Les rituels qu’ils utilisent ne laissent aucun doute à ce sujet. C’est dire l’importance d’un tel ouvrage qui n’a pas son équivalent en français ! …

Vous ne serez pas surpris d’apprendre que suite à ses travaux sur l’Ordre de Yale, Antony Sutton fut l’objet d’une attention toute particulière de la part des Hauts Mondialistes qui, en général, ne goùtent pas du tout ce genre de publicité intempestive ! Leur hargne ne connut plus de bornes: à partir de ce moment-là , A. Sutton ne put faire de recherches dans les grandes bibliothèques, les archives et les bibliothèques universitaires. Des ordres discrets avaient été donnés pour en interdire l’accès à ce dangereux personnage qui osait dévoiler ce qu’il est interdit de dévoiler et que le vulgum pecus se doit d’ignorer pour son plus grand bien ! … Ce fut la retraite forcée qu’il occupa en publiant deux Lettres d’Informations qui osaient révéler ce que la grande-presse-aux-ordres avait pour consigne de taire ! ([18]) En quittant Stanford il avait lancé The Phoenix Letter, lettre mensuelle d’informations consacrée à dénoncer les infractions de la Haute Politique, courrier qu’il publia jusqu’à sa mort. Suite aux persécutions des mondialistes, qui commencèrent après la parution de ses travaux sur l’Ordre, A. Sutton lança en 1990 une nouvelle Lettre intitulée Future Technology Intelligence Report consacrée aux techniques muselées car les Hauts Mondialistes exercent dans ce domaine un pouvoir absolu. ([19]) Antony Sutton vécut donc retiré du monde, gardant seulement contact avec une de ses deux filles, subissant les contrecoups de l’ostracisme d’individus aux ordres de celui dont il a été dit qu’il est le Prince de ce Monde! Il avait osé pénétrer et publier des secrets parmi les mieux gardés au monde, ce qui constitue, n’est-ce pas, un crime abominable ! Avant de quitter la scène de ce monde, A. Sutton publia en 1995 un petit ouvrage de 115 pages donnant la substantifique moëlle sur une question des plus importantes puisqu’elle a empoisonné le monde entier: celle de l’Argent et des Maîtres de l’Argent qui gouvernent de fait la planète: The Federal Reserve Conspiracy. Ouvrage documenté fournissant toute les preuves du complot. Car il s’agit bien d’un Complot de la Réserve Fédérale ! Tous les pays du monde sont tenus par les Banques Centrales ([20]) où dans certains pays (comme la France) des familles se cooptent de siècle en siècle pour exercer un pouvoir réservé à une élite très spéciale. Rappelons pour mémoire que la Révolution Russe de 1917³ fut décidée, entre autres, parce que le Tsar refusait la création d’une Banque Centrale en Russie. Un tel affront vis à vis des maîtres du monde ne pardonne pas. En publiant ce dernier ouvrage €” qui reprenait en fait le titre exact d’un excellent volume publié dans les années 50 par Eustace Mullins, cité par William Carr dans Des Pions €” Antony Sutton désirait attirer l’attention sur les comploteurs qui vont provoquer la 3e Guerre Mondiale grâce à l’étincelle du Proche-Orient, conflit majeur qui verra la destruction simultanée du sionisme et du monde musulman telle qu’annoncée dans la fameuse lettre de Pike à Mazzini en 1870-71.

Les descendants de ces hauts lucifériens se réunirent donc à Jekyl Island en 1910 et décidèrent la création de la Réserve Fédérale US; ils réussirent le tour de force de faire adopter en 1913, par le Congrès des Etats-Unis, leurs décisions prises dans le plus grand secret. Les Puissances d’Argent remportèrent ce jour-là une victoire dont les peuples ne mesurent pas, encore aujourd’hui, l’importance; nous devrions dire le tragique !… Mammon exerce depuis cette date un pouvoir extraordinaire sur toutes les nations du globe. L’Argent règne en maître; tout le monde en conviendra. Remercions en conséquence des auteurs aussi courageux qu’A. Sutton qui osa combattre des puissances infiniment plus puissantes que lui et qui €” ainsi que l’écrit Pierre de Villemarest dans sa Lettre d’Information n° 8 du 14.09.2002 €” n’eurent de cesse de faire disparaître ses parutions et de l’interdire de signature ou de références dans les médias, jusqu’en France (! … ) où depuis 25 ans nous avions convenu de ne pas étaler nos recherches et écrits conjointement menés. Espérons que ses ouvrages irremplaçables ne tomberont pas dans l’oubli et continueront à être édités ou réédités aux Etats-Unis et même, traduits dans nos pays d’Europe où la censure et le terrorisme intellectuel sévissent plus que jamais !…

En la fête de St Hilaire de Poitiers, Docteur de l’Eglise

[1] Lettre n° 8 du 14 septembre 2002, page 8

[2] Voir l’irremplaçable ouvrage de Yann Moncomble: La Trilatérale et les Secrets du Mondialisme, maintenant épuisé

[3] Ces hommes ont la haine de la vérité. Ils ne cessent de prôner la liberté d’expression mais exercent de fait une censure terrible dès qu’on ne va pas selon leurs vues. Lorsqu’on tient la Haute Finance, la Presse, les Médias, les Gouvernements, on peut se permettre beaucoup de choses pour bâillonner des vérités dont le grand public ne doit pas avoir connaissance…

[4] Le Meilleur Ennemi que l’Argent puisse acheter.

[5] Documents officiels du Département d’Etat, papiers privés de personnages clés de Wall Street, biographies, etc.

[6] Sur cette question, nous renvoyons nos lecteurs à nos articles parus dans Sous la Bannière, n° 5 & 11.

[7] Wall Street et l’Ascension d’Hitler.

[8] Dans son numéro spécial de Lectures Françaises (avril 1963) consacré à La Haute Finance et les Révolutions, Henry Coston traitait dans un chapitre intitulé Hitler fut-il commandité par des financiers américains? des relations entre le Führer et le Groupe Warburg. Il y signalait un ouvrage paru en 1933, en Hollande, immédiatement étouffé: Les Ressources financières du National-Socialisme. Trois conversations entre Hitler et Sidney Warburg. 1933 : l’année même de l’accession d’Hitler au pouvoir. L’édition fut achetée en bloc par des agents de la Haute Finance, ce qui fait que très peu d’exemplaires échappèrent à l’ autodafé. Ces révélations étaient plus qu’inopportunes; il ne fallait à aucun prix qu’elles soient rendues publiques.Cet ouvrage a eu toutefois une traduction américaine faite sur un des rares exemplaires hollandais vendus avant le rachat en bloc du tirage: Hitler’s Secret Backers, publié en 1983 par la Research Publications Inc. de Phoenix dans l’Arizona (diffusion Emissary Publications, PMB 1776, 1205 SE Clackamas Rd., Clackamas OR 97015, USA). Nous apprenons dans cet ouvrage qu’Hitler reçut 10 millions de dollars de Kuhn-Loeb & Co en 1929 (la même firme qui finança la Révolution Bolchevique de 1917 !!! … ), 1 million et demi de dollars en 1931 et 7 millions en 1933 lorsqu’il prit le pouvoir.

[9] La première édition de cet ouvrage de Pierre de Villemarest connut quelques déboires puisque l’éditeur avait supprimé de son propre chef tout le chapitre sur le financement du nazisme, ce qui avait obligé l’auteur à le publier en cahier complémentaire ! Heureusement cet ouvrage a été réédité aux éditions Godefroy de Bouillon en 1996 et comprend le chapitre censuré lors de la 1e édition, révélations gênantes pour certains… Mais attention: toutes les publications de cet éditeur ne sont pas absolument fiables. Certaines influences ésotériques se font hélas sentir… Toujours ces maudits réseaux guénoniens-évoliens-païens qui pourrissent de plus en plus la Droite Française car les veilleurs du sanctuaire ne font plus ce qu’ils devraient faire ! …

[10] Voir notre article paru dans Sous la Bannière n° 22

[11] Chez CPA Book Publishers, P.O. Box 596, Boring OR 97009, USA [ISBN : 0-944379-32-X et 0-944379-079].

[12] Voir justement à ce sujet les ouvrages de Yann Moncomble: Le Pouvoir de la drogue dans la politique mondiale (son dernier livre … ) et l’ouvrage qui rendit fou furieux Henry Kissinger et d’autres hauts mondialistes: Dope, Inc. par Lyndon LaRouche et ses collaborateurs. Ouvrage qui dénonçait les liens tentaculaires très étroits entre la Haute Banque, les Cercles Mondialistes (Bilderberg, Trilatérale, … ), la Grande-Bretagne (depuis les fameuses guerres de l’opium … ), les USA et le trafic de drogue à l’échelon mondial… Il est des choses qui ne sont pas bonnes à dénoncer, notamment la volonté des Hauts Lucifériens qui dirigent le monde de pourrir systématiquement les nations occidentales €” par l’usage de la drogue, entre autres poisons €” de façon à mieux dominer les peuples, en vue de l’Asservissement Universel. Tel est le programme ! Autant dire l’importance de Dope Inc. Boston Bankers & Soviet Commissars [New Benjamin Franklin House Publishing Company Inc., P.O.Box 20551, New-York, N.Y. 10023, USA; ISBN: 0-933488-47-51. Autre ouvrage important dans ce domaine et dont nous recommandons vivement la lecture à nos amis qui lisent l'anglais : Red Cocaine. The Drugging of America and the West, par le Dr Joseph D. Douglass, autorité mondiale en matière de drogue et d'utilisation de la drogue à des fins politiques. Cet ouvrage dénonce le plan à longue échéance des services secrets russes et chinois dans les opérations de démoralisation et de contrôle final de l'Occident par l'usage des drogues. Objectif qui fait partie du plan de Révolution Mondiale Léniniste. (chez Edward Harle Limited, 108 Horseferry Road, Westminster, London SW1P 2EF, United Kingdom, GB Tél. : +44 [0] 20-7222 2635 ; ISBN : 1-899798-04-8 25 £). Précisons que l’éditeur de cet ouvrage est celui qui a édité le 2e livre d’Anatolyi Golitsyne: The Perestroïka Deception (25 £) dont nous avons parlé dans Sous la Bannière n° 73 et aussi celui de Christopher Story: The European Union Collective. Enemy of its member States. A Study in Russian and German strategy to complete Lenins World Revolution (25 £). Ouvrage très important. Terminons en précisant que cet éditeur publie une lettre d’information (onéreuse) très percutante, intitulée: Soviet Analyst. A review of continuing Soviet Global Revolutionary Strategy… Au total, l’ouvrage de Douglass complété par celui de LaRouche (liens Haute Finance & Mondialisme) offrent un panorama complet du Complot Mondial de la Drogue dans la tentative de destruction et de pourrissement systématiques de l’Occident et de la Race Blanche…

[13] Ouvrages qu’on peut se procurer chez: Liberty House Press, 2027 Iris, Billings, Montana 59102, USA.

[14] Tous les Grands Trusts étaient partie prenante dans cette aventure. Par exemple IBM (une des grandes sociétés d’informatique à l’échelon mondial) qui fournira à l’Allemagne national-socialiste des machines à cartes perforées €” ancêtres des ordinateurs en quelque sorte €” pour la gestion de l’extraordinaire logistique allemande. Voir à ce sujet l’ouvrage d’Edwin Black: IBM et l’Holocauste (Laffont, 2001), à lire toutefois avec la plus extrême prudence pour certaines raisons…

[15] Cf. notamment Sous la Bannière, n° 27 et 46 3

[16] Il serait temps qu’un spécialiste du mondialisme (Texe Marrs, E. Ratier, … ) rédige un ouvrage sur ce Bohemian Club de San Francisco qui regroupe les 2500 personnes les plus riches ou les plus influentes de la Terre… Club où l’on adore le dieu Moloch (!!! … ) et où l’on pratique des rituels diaboliques. Lorsqu’on refuse le Vrai Dieu, l’Autre occupe le terrain. Oui, il est urgent de publier un livre sur la question d’autant plus que la littérature qui circule sur Internet à propos du Bohemian Club est considérable !

[17] Cf Sous la Bannière, n° 21 et 74 ainsi que son livre Des Pions sur l’Echiquier (Diffusion DPF), autre ouvrage important qu’il importe de bien connaître pour disposer de clés qu’on ne trouve nulle part ailleurs.

[18] 5 Voir dans notre article Les Illuminés passent aux aveux (Sous la Bannière , n° 86, page 13), les remerciements de l’illuminati Rockefeller à la presse libre !

[19] Pensons notamment aux carburants propres €” qui auraient pu remplacer l’Or noir (du Diable), source de pollutions et de guerres innombrables €” et que les Hauts Mondialistes, propriétaires des grands trusts pétroliers, ont systématiquement occultés et accaparés pour ne pas tarir leurs fabuleux revenus. Le sang sur les mains ne les gêne pas le moins du monde ! Nous risquons de le voir prochainement avec l’Irak, 2e réserve de pétrole du Golfe.

[20] Voir par exemple: La Banque de France aux mains des 200 Familles par Francis Delaisi (1936); La Banque de France par A. Dauphin-Meunier (Gallimard, 1937).

Félix Causas, Sous la Bannière, bimestriel, n° 105, janvier-février 2003, p. 11-16

Source : CMAQ, http://www.cmaq.net

Rothschild Family



Les Rothschild et leurs 200 ans d’influence en politique

© Alter Info, Independent.co.uk

Nat Rothschild, le financier au centre des accusations qui menacent d’engloutir le ministre des finance du cabinet fantôme britannique, George Osborne, connaît bien les lois qui interdisent aux politiciens d’accepter des dons de l’étranger.

Par Andy McSmith

The Independent, jeudi 23 octobre 2008

article original : “The Rothschilds and their 200 years of political influence”
nat rothschild

Les dons politiques de l’étranger sont aussi illégaux aux Etats-Unis, où l’équipe de campagne de John McCain fait l’objet d’une enquête, accusée d’avoir accepté un avantage en nature de la part de deux citoyens britanniques ultra-riches, nommément Nat Rothschild et son père, Jacob, le 4ème Baron Rothschild.

En avril dernier, M. McCain est passé par Londres et a fait un discours lors d’un dîner de collecte de fonds pour des expatriés américains, où les sièges aux tables les meilleures marché coùtaient 500 dollars par tête. Ce qui attira l’attention de Judicial Watch, une fondation basée à Washington consacrée à la lutte contre la corruption, était que cet événement se soit tenu “avec l’aimable autorisation de Lord Rothschild et de l’honorable Nathaniel Rothschild” à Spencer House, la résidence familiale de St James, le seul palais du 17ème siècle privé au centre de Londres.

La Commission Electorale Fédérale (FEC) des Etats-Unis enquête toujours sur l’accusation selon laquelle l’équipe de campagne de M. McCain a violé la loi électorale en acceptant un avantage en nature de la part des Rothschild. “Nous n’avons pas encore de nouvelles de la part de la FEC et nous ne nous attendons pas à en avoir avant la fin de la campagne électorale”, a déclaré Tom Fitton, de Judicial Watch.

La famille Rothschild et la politique ont été étroitement liées pendant des générations, depuis que Nathan Rothschild, qui a fondé la branche anglaise de l’entreprise familiale, a financé la guerre britannique contre Napoléon, il y a deux siècles. Nathan était le fils de Mayer Rothschild, qui a fondé l’entreprise familiale dans le ghetto juif de Francfort au 18ème siècle.

L’année dernière, Serena Rothschild, la mère de Nat Rothschild, était l’une des plus importantes donatrices individuelles du Parti Conservateur. Elle a donné 190.000 livres sterling [240.000 ”šÂ¬]. Elle a également aidé à financer le poste de M. Osborne.

Lorsqu’un autre membre du clan, Sir Evelyn de Rothschild, a épousé la femme d’affaire new-yorkaise Lynn Forester, ils ont passé leur nuit de noce à la Maison Blanche, en tant qu’invités de Bill Clinton. Lady Rothschild était une collectrice de fonds pour les démocrates, mais elle est passée dans le camp de McCain après que son amie Hillary Clinton a été battue à la nomination par Barack Obama.

Il n’est donc pas nouveau qu’un Rothschild fréquente des politiciens de premier plan – mais ils le font généralement d’une manière qui n’attire pas de publicité inutile. Ce qui est inhabituel à propos de l’intervention soudaine de Nat Rothschild dans l’affaire de l’oligarque[1] et du yacht de Corfou est la façon dont il s’est mis au centre de la scène. Sa motivation présumée est la colère qu’il aurait éprouvé vis-à -vis des mauvaises manières de M. Osborne qui a révélé ce que Peter Mandelson avait dit sur Gordon Brown, lorsque Lord Mandelson, M. Osborne et M. Rothschild étaient les invités du magnat russe de l’aluminium, Oleg Deripaska.

Malgré la photographie désormais célèbre qui montre M. Rothschild et M. Osborne comme des étudiants privilégiés de 21 ans à Oxford, ils n’étaient pas proches amis et leurs chemins ont rapidement bifurqué. Dans les deux ans après que cette photo fut prise, M. Osborne s’installa dans la carrière qu’il s’était choisie en prenant un poste au siège du parti conservateur. Cette même année, Nat Rothschild, ne montrant aucun intérêt à trouver un emploi stable, se mit en couple avec Annabelle Neilson, un mannequin rencontré sur une plage en Inde, s’enfuit vers Las Vegas et l’épousa.

Ses parents horrifiés doivent avoir craint qu’il se dirige dans la même voie autodestructrice que celle de ses deux cousins – Amschel, qui s’est pendu dans un hôtel parisien en 1996, et Rafael, qui est mort d’une overdose d’héroïne, à l’âge de 23 ans à Manhattan.

Mais Nat Rothschild est sorti de ce mariage, rompu trois ans plus tard, en homme neuf. A New York, il a rencontré Timothy Barakett, le fondateur d’Atticus Capital, un fonds spéculatif qui fait des paris souvent risqués sur de larges sommes pour le compte de riches clients. M. Rothschild est devenu coprésident de cette entreprise, laquelle, à son apogée, gérait des investissements de plus de 20 milliards de livres [27 milliards ”šÂ¬]. C’était avant le désarroi des marchés financiers – le mois dernier, il a été rapporté que 2,5 milliards de livres [3,4 milliards ”šÂ¬] ont été détruits de la valeur des actifs d’Atticus.

Même ainsi, on pense que Nat Rothschild a gagné beaucoup plus d’argent que ce qu’il aurait hérité en tant que plus jeune enfant et seul fils de Jacob Rothschild. Père et fils font à présent équipe et ont co-fondé JNR, un véhicule d’investissement avec des bureaux à Londres et à New York et des intérêts étendus en Russie. C’est Jacob qui a présenté Nat à Peter Mandelson.
Traduction JFG-QuestionsCritiques
Note :

[1] George Osborne, le “ministre de l’Economie” de l’opposition, est accusé d’avoir demandé au magnat russe de l’aluminium, Oleg Deripaska, de financer son parti, ce qui est illégal. Cela se passait pendant ses vacances en Grèce, à Corfou, qu’il passait en compagnie de quelques personnalités extrêmement riches. Parmi ceux-ci, Nathaniel Rothschild, riche membre de la dynastie de banquiers, qui dispose d’une villa de vacances sur cette île grecque. A l’occasion de ce séjour estival, Osborne a en outre rendu visite à l’oligarque russe Oleg Deripaska, l’un des hommes les plus riches de la planète, sur son yacht privé, lequel est, bien sùr, l’un des plus grands du monde.

Pendant ce séjour, Osborne a également rencontré Peter, désormais lord, Mandelson, alors encore commissaire européen au Commerce [devenu ministre du Commerce britannique début octobre]. Jusque-là , cette histoire de riches et célèbres ne suscite qu’un vague sentiment d’étonnement à l’idée que le principal porte-parole des tories pour l’économie puisse frayer avec un adversaire politique tandis qu’au pays les gens s’inquiètent pour leur épargne, leur retraite, leur logement, leur emploi. Et c’est là qu’intervient l’incroyable absence de jugement dont a fait preuve Osborne. Il a fait savoir que, lors de leur idylle ionienne, lord Mandelson avait “craché du pur vitriol” à propos de Gordon Brown à qui voulait bien l’entendre. Puis on a entendu dire que lord Mandelson aurait également rencontré Deripaska, qui a fait fortune dans l’aluminium et a profité de la baisse des droits de douane décidée par la Commission européenne. Ces révélations gênantes ont apparemment provoqué la colère de Rothschild, ce qui n’a rien de surprenant puisqu’elles entachent son rôle d’hôte. En réplique, Rothschild a affirmé que le chancelier de l’Echiquier du cabinet fantôme avait lui aussi vu Deripaska sur son yacht et qu’il était en plus accompagné d’Andrew Feldman, le collecteur de fonds des conservateurs, “pour solliciter un don” [la somme de 50 000 livres, soit plus de 63 000 euros, est avancée par la presse].



Bank of China entre dans le capital de Rothschild

© Les Afriques

Bank of China, l’une des quatre grandes banques chinoises, a pris 20% dans le capital de la Compagnie financière Edmond de Rothschild pour un montant de 236 millions d’euros, a annoncé jeudi l’établissement français.

Il s’agit du « premier accord capitalistique conclu entre une grande banque chinoise et une banque de l’Eurozone », a déclaré jeudi Michel Cicurel, le président du directoire de La compagnie financière de Rothschild (LCFR), lors d’une conférence de presse.

Spécialisée dans la gestion de fortune et la gestion d’actifs, la banque française reste contrôlée par une société holding familiale.

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